En six mois d'existence et une centaine de notules, cet espace virtuel a subi quelques changements… Il intégrait d’abord des occupations multiples, dessinées, gravées, peintes, filmées. Je n’avais pas non plus, en l’initiant, l’idée qu’il évoluerait vers l’analytique et le compulsif. Ces petites analyses succinctes, dont la vidéo un Songe fut le prétexte, nourrissent désormais mes tentatives de films….
Mon questionnement essentiel, et que je formule dans le petit essai sur le Rokkô d’Olivier Deprez (voir 1 et 2) , concerne la narration plastique, étant entendu que je classe la vidéo, celle que je m’efforce de pratiquer, dans une catégorie intermédiaire et inconfortable entre la plasticité modulaire de l’image fixe et le souvenir mouvant du cinématographe. L’article concernant Olivier Deprez, outre qu’il aborde une recherche qui m’impressionne et avec laquelle je me sens en parenté, me permet de nourrir mes projets créatifs. Cet essai partiel, et partial aussi puisqu’il résume ce qui ne peut l’être au gré de mes propres souvenirs et obsessions, fera encore l’objet d’un, voire deux prolongements.
Je reviendrai aussi sur le principe des Pastilles (1 et 2) qu’il ne faudrait pas confondre avec des recherches plus nourries et construites. Ces très courts métrages induisent des récurrences et des ruptures; ils constituent aussi un terreau, ou l’épilogue qui vient clore les tergiversations ou les regrets.
Vous découvrirez prochainement :
Mon questionnement essentiel, et que je formule dans le petit essai sur le Rokkô d’Olivier Deprez (voir 1 et 2) , concerne la narration plastique, étant entendu que je classe la vidéo, celle que je m’efforce de pratiquer, dans une catégorie intermédiaire et inconfortable entre la plasticité modulaire de l’image fixe et le souvenir mouvant du cinématographe. L’article concernant Olivier Deprez, outre qu’il aborde une recherche qui m’impressionne et avec laquelle je me sens en parenté, me permet de nourrir mes projets créatifs. Cet essai partiel, et partial aussi puisqu’il résume ce qui ne peut l’être au gré de mes propres souvenirs et obsessions, fera encore l’objet d’un, voire deux prolongements.
Je reviendrai aussi sur le principe des Pastilles (1 et 2) qu’il ne faudrait pas confondre avec des recherches plus nourries et construites. Ces très courts métrages induisent des récurrences et des ruptures; ils constituent aussi un terreau, ou l’épilogue qui vient clore les tergiversations ou les regrets.
Vous découvrirez prochainement :
- de nouvelles pastilles
- des extraits de films (Eblouissement, Numphe)
- la suite de l’exposé consacré au Rokkô d’Olivier Deprez
- d’autres découvertes ou réminiscences en rapport avec le cinéma et l’animation.