Le climat de l'acte 3 du Jardin des supplices repose partiellement sur les fonds et autres textures. L'artifice s'est imposé autant pour des raisons économiques qui rendent impossible le réalisme que pour respecter le combat intérieur des personnages, eux-mêmes peu visibles, sauf à des moments stratégiques: tout ou presque est vu en caméra subjective. Investis d'un fort impact suggestif et narratif, textes et dialogues explicitent quand il le faut...
Le traitement visuel de cet acte revendiquera également ses influences picturales (ainsi que sa caricaturale picturalité). Les superpositions s'apparentent aux glacis et les chromatismes exagérés confirment l'intrusion du peintre... Ceci méritera d'être précisé ultérieurement...