Je travaille depuis quelques jours à un premier montage de l'acte I du Jardin des Supplices. Autant le Frontispice fut une élaboration parallèle, distincte, presque indépendante des trois médiums (livret, musique, images), autant la suite s'accomplit selon une chronologie où le texte précède la musique qui entraîne les images vidéos... Une position finalisante, une apologie de la conséquence qui ne doit pas s'apparenter à la démarche d'un censeur ou d'un apprenti démiurge.... Accompagner modestement la narration, la fine prose de la librettiste et la musique du compositeur, relèverait aussi, en tant que tel, du péché d'orgueil...
Cela demeure surprenant, parfois, de constater qu'une séquence doit être abandonnée (manie du recyclage), qu'une pochade filmée acquiert par le montage, en résonance avec le monde sonore de Détlef Kieffer et les évocations de Kinda Mubaideen, un relief insoupçonné ...
Cela demeure surprenant, parfois, de constater qu'une séquence doit être abandonnée (manie du recyclage), qu'une pochade filmée acquiert par le montage, en résonance avec le monde sonore de Détlef Kieffer et les évocations de Kinda Mubaideen, un relief insoupçonné ...