Pour concevoir des images en mouvement, il existe un plaisir simple et rudimentaire, né des premières tentatives de l'internet. Certains se souviennent de ces pages palpitantes et illisibles, souvent criardes, aux vignettes clignotantes et futiles. Aujourd'hui, le concept est parfois repris à des fins obscènes, ironiques ou nostalgiques. J'y trouve un plaisir coupable et la possibilité de façonner encore des séquences élémentaires, comme une alternative variable à la série ou à la suite d'images fixes...