Dans ses Ecrits sur le cinéma, Jean Epstein note que "l'une des plus grandes puissances du cinéma est son animisme. A l'écran, il n'y a pas de nature morte. Les objets ont des attitudes. Les arbres gesticulent. Les montagnes, ainsi que cet Etna, signifient. Chaque objet devient un personnage."
(A propos de la Montagne infidèle, 1923)