Je l'indiquai avant-hier: Fluss constitue la première partie d'un triptyque (ou trilogie?) consacré à la nymphe. Fluss serait comme la rencontre sur une table de montage du clignotement propre au cinéma d'avant-garde des années soixante et du romantisme allemand. Le son est brut, hâché par la juxtaposition des images mobiles ou fixes. Le texte cité est extrait du Winterreise de Wilhelm Müller que Schubert mit en musique.
Dans ce rythme ternaire, ce panneau signale une émergence tantôt possible, tantôt improbable, une réécriture de la nature qui caractérise toute tentative de figure élémentaire au sein du paysage.
Dans ce rythme ternaire, ce panneau signale une émergence tantôt possible, tantôt improbable, une réécriture de la nature qui caractérise toute tentative de figure élémentaire au sein du paysage.