11 novembre 2008

UN SONGE, références, suite

Je suis redevable de l’humilité de Vigo, sans espoir de retour, sans pouvoir y prétendre sous peine de nostalgie pittoresque… Vigo porte le peuple, et transpire l’empathie..
À l’opposé, Un Chien Andalou nous fait pénétrer au sein d'un rêve d'artiste, une expérience individuelle, cristallisation des fantasmes de Bunuel et Dali, et dont la force expressive ne permet pas l'adhésion. Nous observons une âme humaine et il nous est permis de croire, comme le firent ces artistes férus de psychanalyse, que chaque homme porte ses terreurs et ses manques, et qu’il réagit en fonction d’eux…
Un paysage de l’âme donc, et dont le récit d’un Songe serait la toile de fond ?…
Si j’y parviens…