17 novembre 2008

UN SONGE: influences, suite.

Outre ces incontournables de l’avant-garde évoqués ici et là, la Coquille et le Clergyman de Germaine Dulac fut prétexte à scandale, banalité surréaliste certes, mais orchestrée par les surréalistes mêmes : Artaud n’avait pas reconnu son scénario.
Dulac décline une gamme d’effets, au détriment sans doute de la sincérité, ce que l’auteur du Théâtre de la cruauté lui reprocha…
Cette virtuosité a pourtant conservé son impact plastique, et la dimension magique et provocatrice du synopsis reste intacte..