…je ne compris pas d’emblée d’où ils venaient, ce qui les avait amenés, sinon un collusion d’idées et une nostalgie, une de celles qui fit naître en moi l’envie d’une image mouvante, une image vue d’abord, captée et inventée ensuite.
Judex (1963) nous rappelle le cinématographe façon Feuillade, dont Franju, sans redite ni décalque, enrichit encore le potentiel narratif. Il a recours à la magie blanche qui fût dès l’origine, depuis Méliès, le but émerveillé du cinéaste.
Cette scène de bal aurait le hiératisme de certaines mondanités de l’Année dernière à Marienbad, mais sans aucune ostentation, sans vacuité délibérée.
Franju songe à l’enfant, à ses terreurs comme à son irréalité saine, et prône un mystère profond, sauvage, naïf et pourtant raffiné…
Cette incarnation animale relève de l’hybridation, du collage de Ernst, lui-même adepte des obsessions ornithologiques…
En résonance, les esquisses d’un songe où Kvaif débusque les volatiles à tête d’homme…
Judex (1963) nous rappelle le cinématographe façon Feuillade, dont Franju, sans redite ni décalque, enrichit encore le potentiel narratif. Il a recours à la magie blanche qui fût dès l’origine, depuis Méliès, le but émerveillé du cinéaste.
Cette scène de bal aurait le hiératisme de certaines mondanités de l’Année dernière à Marienbad, mais sans aucune ostentation, sans vacuité délibérée.
Franju songe à l’enfant, à ses terreurs comme à son irréalité saine, et prône un mystère profond, sauvage, naïf et pourtant raffiné…
Cette incarnation animale relève de l’hybridation, du collage de Ernst, lui-même adepte des obsessions ornithologiques…
En résonance, les esquisses d’un songe où Kvaif débusque les volatiles à tête d’homme…